Le Monde.fr – 13/9/2016

L’Allemagne, de son côté, continue d’exiger la présence du FMI dans ce troisième plan, tout en renvoyant un règlement de fond sur la dette à l’après-élections législatives allemandes de l’automne 2017. « Le gouvernement grec n’a pas beaucoup de marge de manœuvre car l’économie grecque reste très fragile, elle ne pourra pas supporter des mois d’incertitude, affirme l’économiste grec Georges Pagoulatos. L’objectif d’arriver à dégager 1,75 % du PIB d’excédent primaire en 2017, et 3,5 % en 2018, semble très ambitieux. Il faudrait un retour à la croissance dès cette année, or les prévisions européennes et celles de la Banque de Grèce tablent plutôt sur une récession de 0,3 % du PIB. »
 

You May Also Like